Comme annoncé dans l'article précédent, j'ai récemment réalisé un trek en Ecosse. Mais bon pour y aller en Ecosse, fallait bien débarquer dans une ville ; mon point de départ fut donc Edimbourg, seule ville écossaise desservie depuis Nice (sans faire des escales interminables).
Je suis donc arrivée très tard dans la nuit, puis en bonne backpacker que je me suis, j'ai pris le bus et mes petits pieds pour arriver jusqu'à l'auberge. En pleine nuit. J'ai eu un peu peur je vous avoue, surtout quand gentil Google maps m'a fait passer par des petites ruelles et "courts", fameux à Edimbourg, mais bien sombre à 1h du matin.
Arrivée saine et sauve à mon auberge de jeunesse (Budget Backpackers), trop excitée de voyager dans une ville inconnue, je me suis réveillée assez tôt, pour une très longue journée de vadrouille.
J'ai découvert une ville pleine de richesses, avec de belles collines vertes ornées de roches rouges aux alentours (ville + nature = équation parfaite pour moi #keuraveclesdoigts), mais aussi de jolies ruelles et une kyrielle de bars qui donnent tous tant envie les uns que les autres de se mettre derrière la fenêtre et de boire une petite pinte.
Pleine d'endroits insolites, la ville d'Edimbourg est, paraît-il, superbe à visiter en août pour profiter de ses festivals, mais aussi en période des fêtes pour ses décorations de pubs (les fameux) et l'ambiance chaleureuse.
Edimbourg, entre mer et terre, est une ville dont je suis totalement tombée amoureuse (en un jour, oui oui). Ses collines, sa verdure, la Old Town, ses ruelles, ses habitants, la mer du Nord, tout m'a séduit. Alors certes, octobre n'était peut-être pas la saison idéale pour une première visite (ni pour un premier trek, mais on en reparle au prochain épisode), mais j'ai pu profiter d'un temps clément et goûter aux joies des averses écossaises.
Château d'Edimbourg & touristes |
Mon homme en kilt <3 |
Ayant joué un rôle majeur dans la défense de l'Ecosse, la ville d'Edimbourg se développa au XIIème siècle avec le roi David Ier. C'est à la même époque qu'Edimbourg devint la capitale de l'Ecosse. S'étendant sans arrêt depuis cette époque, tant en hauteur qu'en largeur, les styles architecturaux se sont succédé, réinventant sans cesse la ville.
Cathédrale d'Edimbourg |
Cependant, les principaux centres d'intérêts se concentrent dans la Old Town et quelques endroits dans la New Town. J'ai d'ailleurs adoré me balader dans la vieille ville, avec ses constructions mêlées, sillonnées de "closes", "courts" et "wynds" ; j'ai suivi le parcours proposé par le guide Lonely Planet, soit un peu moins de 2km, partant du château et de son superbe point de vue, jusqu'à une rue marchande pleine de petits commerces très "hipsterisant".
Après avoir traversé le magnifique parc de Princes Street Gardens, je suis ensuite allée manger dans la New Town, goûtant aux plaisirs d'un restaurant veggie (Henderson's) ; car oui, on peut très bien manger végétarien en Ecosse !
Princes Street Gardens avec une vue sur le Scott Monument |
Wrap végétarien et salades : yummy ! |
Dugald Stewart Monument & photo de touriste devant le National Monument of Scotland
Panorama sur le sentier menant au point culminant d'Arthur's Seat |
Différentes vues du Arthur's Seat : roche rouge, corbeau, brouillard & panorama
Et puis en rentrant, pour me réconforter de la sympathique pluie en pleine face, je me suis lancée dans la dégustation du deep-fried Mars (fortement conseillé par une amie (Coucou Elo !)). "Haute" gastronomie écossaise, la barre de Mars frit est une É-NOR-ME dose de sucre/gras/chocolat #neveragain #oublietaligne.
J'ai donc pu profiter au maximum de la ville, en un minimum de temps, toujours en utilisant mes seules écolo-gambettes. Et quelle ville !
A très vite Edimbourg !
Toutes les photos ont été prises avec mon Pentax Q (objectif 50 mm) ou avec mon téléphone Wiko Pulp Fab
Toutes les photos ont été prises avec mon Pentax Q (objectif 50 mm) ou avec mon téléphone Wiko Pulp Fab
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